« Mozart à Versailles 1764 »

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Béatrice Véronique DOUDA
Peinture numérique Impression sur toile montée sur châssis bois, encre ultrachrome 380gr/m2.  60 x 51 cm

 

Disponibilité : En stock

« A la cour de Versailles, c’est, en ce jour du 1er janvier 1764, pour Léopold Mozart, un
jour de gloire. Sa progéniture dévoile l’exceptionnel don divin, celui qui surpasse tous les
dons. Son fils, Wolfgang, est béni des dieux. Et cette bénédiction est emportée, en
cette année 1764, tel un bagage lumineux, dans le sillage d’un voyage en Europe.
L’Europe doit connaître le prodige ! L’Europe doit savoir : Mozart est un génie !
Le père, au-delà de sa fierté paternelle, semble habité d’une mission : celle de faire
connaître à ce monde que Dieu lui-même est un compositeur. Le Compositeur.
Et pour cela, c’est le petit Wolfgang qui a été choisi ! Au grand couvert du roi, ce jour-là,
Mozart, petit page de l’Enfant-Dieu, confirme, dans les envolées de ses jeunes mains
graciles, que le Créateur est à l’oeuvre. Le roi de France en reste émerveillé.
Pour la première fois, l’âme d’un monarque s’incline devant l’harmonie de Celui qui l’a
sacré roi de France.
Après avoir joué devant la famille royale, les enfants, Mozart et sa soeur Nannerl, au
talent incontestable, sont embrassés à plusieurs reprises par la Dauphine et Mesdames,
filles de Louis XV. Léopold en est fort satisfait.
L’enfant Mozart laissera, à la Cour de Versailles, au milieu des dorures, des étoffes
moirées, des conversations mondaines, les écharpes mélodiques d’une musique qui
n’est pas de ce monde. Au-delà de l’instrument, au-delà de l’enfant-génie, au-delà même
du roi, c’est l’Amour qui s’envole, l’Amour-Harmonie, l’Amour-Créateur, la Lumière même
de la Vie. »

Toutes mes œuvres comportent : signature de l’artiste sur le devant – Signature de
l’artiste au dos – Certificat d’authenticité signé

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