Dans cette œuvre saisissante, Wabyanko fait se rencontrer deux figures emblématiques de la douleur et de l’idéal : la Statue de la Liberté, icône universelle de justice et d’asile, et la sculpture La Douleur de la ville de Tréguier, connue pour son intensité expressive et son recueillement silencieux.
Reprenant la posture courbée et poignante de la statue trégoroise, la Liberté de Wabyanko abandonne son geste triomphal pour s’effondrer dans une attitude de peine. La flamme vacille, le regard se baisse, le corps s’incline. Une image forte, à la fois intime et politique, qui traduit le désarroi d’un monde où les promesses de liberté semblent trahies : inégalités criantes, crises humanitaires, libertés surveillées.
Les couleurs sourdes et les contours estompés renforcent l’ambiance de deuil silencieux, où la grandeur devient vulnérabilité. Ce n’est plus une statue fière qui domine les foules, mais une figure humaine, pleine de doutes et de fatigue, qui nous rappelle que la liberté est un combat fragile, jamais acquis.
Reprenant la posture courbée et poignante de la statue trégoroise, la Liberté de Wabyanko abandonne son geste triomphal pour s’effondrer dans une attitude de peine. La flamme vacille, le regard se baisse, le corps s’incline. Une image forte, à la fois intime et politique, qui traduit le désarroi d’un monde où les promesses de liberté semblent trahies : inégalités criantes, crises humanitaires, libertés surveillées.
Les couleurs sourdes et les contours estompés renforcent l’ambiance de deuil silencieux, où la grandeur devient vulnérabilité. Ce n’est plus une statue fière qui domine les foules, mais une figure humaine, pleine de doutes et de fatigue, qui nous rappelle que la liberté est un combat fragile, jamais acquis.